1813, une retraite difficile...

Automne 1813, les troupes françaises, de retour des plaines russes, traversent l'Europe, pourchassées par les armées coalisées. La campagne de 1814, en France, se profile.

Dans cette partie (fictive) jouée le 17 septembre 2011, les troupes russes, suédoises et prussiennes jaillissent dans le dos du corps d'armée du Prince Eugène, comprenant Italiens, Français, Saxons et Westphaliens.

Les Suèdois débouchent du pont, sous le feu des Saxons.

Superbes grenadiers russes de Benoit.

Quelques conscrits saxons de Dimitri, laissés en arrière-garde, tentent d'enrayer l'avance des coalisés.

La garde italienne de Philippe.

Combats du milieu de journée : les Prussiens de Christophe résistent à un contre 4 aux assauts de Gael et Serge, alors que le village central est défendu par Dimitri et Philippe, avec des troupes d'élite, peu nombreuses mais expérimentées.

Les tirailleurs français cèdent du terrain, petit à petit.

16h, la bataille fait rage. Contre toute attente, les Prussiens retiennent les troupes françaises malgré leur nombre.

Les Saxons, fidèles pour quelques jours encore à l'Empereur.

Les généraux français songent à donner l'ordre d'attaque au centre, mais trop tard : une première estafette s'est perdue, et la seconde arrivera trop tard pour l'ordre décisif.

Contre-attaque prussienne : l'aile droite française est menacée...

Il est 16h45, alors que les renforts français arrivent en vue de l'église, les Italiens et les Saxons sont submergés par le nombre. Les renforts ne seront pas là à temps. Les Suèdois de Ronnie le payeront en se repliant, mais ils ont provoqué de lourdes pertes.

Sur les 5 points de victoire, les coalisés en comptabilisent 3...la victoire est de leur côté, l'état major français doit réorganiser la retraite...