Partie du 12 février : en 1813, les troupes françaises, fatiguées par la récente retraite de Russie, tentent de résister aux assauts des coalisés, décidés d'en finir avec l'Ogre.
Les Français, sous le commandement de Christophe, étaient composés d'Italiens, Westphaliens, Suisses, Danois et Polonais. Serge, Gael et Benoit suivaient les directives de Christophe.
En face, sous le commandement de Philippe, Aaron, Cédric, Ronnie et Dimitri avaient la mission de s'occuper des troupes autrichiennes, russes, prussiennes, suedoises et anglaises...en 1813, les nations se regroupent et permettent sur une même table d'aligner de nombreux uniformes.
Les Polonais, fidèles à Napoléon, se déplacent sous le commandement de Gael.
Le village du centre, qui sera le théâtre de combats dantesques, Benoit le défendra coûte que coûte face à de nombreux russes appuyés par leur puissante artillerie.
Début de la bataille : sous les yeux des garnisons fançaises, les Autrichiens fondent sur l'ennemi
pour avoir l'avantage du terrain.
Sur la gauche française, les Polonais appuyés par les remarquables Danois de Christophe bousculent les troupes Anglo-prussiennes de Aaron. Les viilages du centre portent déjà les stigmates des âpres combats.
Les Autrichiens, déjà bien dotés en artillerie, reçoivent de nouveaux renforts.
La jeune garde française de Christophe, téméraire, se retrouve isolée face à de nombreux carrés. Le régiment de cavalerie chargera vaillamment les hussards autrichiens avant de quitter le champ de bataille.
L'état-major coalisé : vers 15 heures, égalité au niveau des points de victoire. Décision est prise de lancer les russes à l'assaut du village central pour remporter la partie.
Benoit, dirigeant la défense française au centre, défie les lois des probabilités : une série impressionnante de 1 au dé l'oblige à courber le dos face aux attaques russes.
Sur l'aile droite coalisée, Aaron a la lourde tâche de contenir les assauts polonais. Vers 16 heures, il envoie un message au général en chef pour prendre l'offensive. Le général autrichien refuse, la témérité n'est pas du côté coalisé, on préfère gagner la bataille au centre...sans prendre de risque.
Le doute, pour ne pas dire la résignation, se lisent sur le visage de Benoit...mais il a une dernière carte...
Pendant que les grenadiers autrichiens et les Suédois attendent patiemment dans le bois, Benoit décide une étonnante sortie : les Russes, pour le moins surpris, vacillent...
Mais Gael craque, ses Polonais s'enfuient et laissent Benoit seul face à une multitude de Russes, Suèdois et Autrichiens...la messe est dite, les Français doivent se replier, même les Danois n'y croient plus.
16h30 Serge a été éliminé par les attaques répétées de Cédric, Christophe se débat maintenant contre Philippe et Cédric réunis...
17h15, les coalisés remportent la victoire. Le panache était du côté français, mais il ne fut pas suffisant face à la détermination et au nombre de leurs adversaires...
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