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samedi 16 avril 2011

Bataille de Dennewitz





































Le 6 septembre 1813, le maréchal Ney file sur Berlin. Il arrive à Dennewitz mais se heurte aux Prussiens du général Tauentzien.
Les troupes françaises sont éparpillées, et c'est le moment attendu pour les Russes et Prussiens : ils attaquent les Français et leurs alliés Wurtemburgeois, Italiens, Bavarois et Polonais...
Les Français sont dirigés par Dimitri alias le maréchal Ney. Il prend l'option offensive d'envoyer Gael et Benoit, conduisant les franco-italiens, affronter les seuls ennemis présents sur la table au début du jeu : les Prussiens de Christophe. Philippe, quant à lui devra défendre le secteur devant Dennewitz en attendant les renforts de Serge et Dimitri.














On voit ici les superbes saxons, renforts tant attendus par les Français dans les premiers tours de jeu, alors que rentrent sur le terrain les coalisés : Ronnie, pour un jour Bernadotte, assisté de Cédric et ses Russes, et des Prussiens de Christophe.















Dans la matinée, les troupes se mettent en place autour de Dennewitz, village indispensable aux conditions de victoire. Au nord, l'assaut de Gael est stoppé net par une contre-attaque fulgurante de Ronnie...les Français sont malmenés, et les Italiens de Benoit doivent épauler l'attaque française face à la grande résistance des Landwehrs prussiennes, troupes inexpérimentée mais courageuses et soutenues par de redoutables batteries lourdes.




















L'état major prussien menant ses milices au combat.






La cavalerie saxonne investit la colline au centre pour contrer Cédric qui est passé à l'attaque avec ses Russes et ses Prussiens.







A la pause, les Prussiens comptent leurs morts : une division est mal en point, va certainement partir en déroute...mais elle emmènera avec elle la division française de Gael.









Le cimetière près de Dennewitz est pris par Cédric, appuyé sur sa droite par une double batterie.









L'infanterie saxonne arrive sur la colline pour colmater les brèches...Philippe, avec ses Wurtembourgeois, a de plus en plus de mal à résister à Cédric, et les Saxons sont les bienvenus.






Ronnie et Cédric. Il est 15h30, leur avancée est précise, et leurs pertes insignifiantes...les Français et leurs alliés se demandent si Dennewitz pourra tenir...







D'autant qu'après les Landwehrs, ce sont les troupes régulières prussiennes qui s'approchent, bataillons fournis et déterminés.







Sous l'oeil bienveillant de Cédric, Christophe organise ses troupes pour une grande attaque.







Au nord, quelques bataillons de réserve prussiens résistent encore, l'armée de Christophe n'a pas été emportée par la vague franco-italienne...







...et certaines résistances, tant elles semblaient désespérées dès le départ, ont le goût de la victoire.





16h00 : Benoit et ses Italiens doit maintenant tenir, les Prussiens sont de plus en plus déterminés, et Dennewitz est en vue. Benoit collectionne les "1" sur les dés depuis le matin (la preuve sur la photo), mais la chance va revenir en fin de partie.






Serge investit le sud de la table avec sa colonne bavaroise pour protéger l'aile droite française de Dimitri...mais très vite, Cédric, fidèle à ses habitudes, fond sur lui avec ses Russes.





Combats au centre : cavalerie prussienne contre cavalerie saxonne, les forces sont d'égale valeur et les dés se chargent de déterminer le coup de pouce du destin.





L'infanterie saxonne de Dimitri, toujours solide à 16h00.






16h20 : les Prussiens progressent dans les faubourgs de Dennewitz, Benoit ralentit leur progression avec sa division italienne.






Les charges de la cavalerie russe de Cédric sur les troupes de Serge : dévalant de la colline, les cavaliers fondent sur l'ennemi, malgré les boulets de canon.






Sur la colline, un repli stratégique de la cavalerie saxonne...les fantassins devront faire face.









Dans le village de Dennewitz, les Français de Benoit se préparent, au cas où le rideau de défense formé par les Wurtembourgeois et les Italiens craquerait.








L'état major français.







Troupes prussiennes en ligne.












L'infanterie russe, soutenue par sa légendaire atillerie.










La cavalerie russe arrive en vue de Dennewitz, il est 16h45.










Les charges ont eu raison de la bonne volonté de Serge, il est vaincu, l'armée française n'a plus d'aile gauche.








17h15, l'heure des comptes : malgré sa grande résistance, l'armée russo-prussienne a trop de pertes et doit reporter son assaut sur Dennewitz. Bernadote doit repartir. Les Français ont subi de grandes pertes, eux aussi, mais le village est tenu, les restes de l'armée pourront se diriger vers Berlin, mais la victoire française est coûteuse.
Les drapeaux saxons peuvent flotter autour de Dennewitz.
Partie jouée le 16 avril 2011.


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