Benoit, Gael, Serge et Philippe jouent les Français, avec un plan d'attaque au centre, sur le village de Kis-Megyer.
Les Autrichiens, joués par Chistophe, Dimitri et Cédric, occupent la table avec de nombreuses recrues...
Lever de soleil sur le village central, un village fortifié qui promet d'être difficile à prendre.
Lever de soleil sur le village central, un village fortifié qui promet d'être difficile à prendre.
Nombreux sont les cavaliers autrichiens, mais leur expérience au combat reste inférieure à celle des Français.
La disposition initiale des autrichiens. Les conditions de victoire sont simples : les Français doivent mettre en déroute l'armée autrichienne dans son ensemble.
Face à face de cavalerie au nord : Gael et Dimitri maintiennent leurs distances, seuls quelques tirs d'artillerie résonnent au loin.
Au centre, Serge lance l'attaque principale : plus de 20 bataillons se lancent à l'assaut du village fortifié. Philippe est chargé de le soutenir avec sa division italienne.
Il est midi, les Autrichiens sont attaqués sur leur aile gauche et sur le centre, mais ils résistent sans trop de problème.
Après la pause, l'assaut français vu du côté de l'archiduc Jean : des colonnes imposantes gravissent la colline...Cédric commence à se faire du souci, ses troupes sont bien protégées derrière ses murs mais moins bien entraînées que celles de Serge.
Le côté sud du village : Dimitri, avec ses grenadiers, possède les meilleures unités, mais il doit faire face à l'attaque simultanée des Badois de Gael et des Italiens de Philippe.
Il est 15 heures.De toutes parts les troupes françaises ont traversé le ruisseau, traversée perturbant quelquefois la cohésion de leurs unités mais dans l'ensemble les divisions de l'armée d'Italie ont pu franchir l'obstacle sans trop de dégâts. Par contre, la réception autrichienne est violente, les pertes de Serge sont conséquentes.
16 heures : l'assaut central s'éternise, les contre-attaques des recrues autrichiennes sont sanglantes et Cédric n'est pas loin de repousser Serge. Ce dernier y laissera une division, mais remportera le village.
16h 30 : les Grenadiers de Dimitri sont attaqués par les Italiens et les Badois, les grenadiers font de nombreuses pertes mais cèdent sous le nombre, d'autant plus que le village situé sur leur droite a cédé...
Les Badois avancent, inexorablement....
Au sud, Christophe résiste depuis le matin face à Benoit et à Philippe, il a même mis en déroute la cavalerie de Grouchy...et parait sûr de sa victoire!
Mais les nouvelles des autres fronts sont mauvaises : les divisions autrichiennes s'écroulent les unes après les autres, et la cavalerie badoise est en route pour le mettre en déroute, lui aussi.
17h15, seul Christophe reste debout, il lui reste une division sur trois, les français sont partout, il ont trois divisions de perdues, mais l'issue est certaine, Christophe doit s'avouer, le dernier, vaincu...
Les autrichiens quittent le champ de bataille de
Raab, Wagram se profile à l'horizon...
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